Il y existe une variété énorme de sigles dans le monde. Beaucoup d’entre eux contiennent des significations secretes et difficiles d’interpréter.
Les Égyptiens furent les premiers qui se servirent de signes abréviatifs; les grecs les adoptèrent, et plus tard les Latins. Ces derniers, avant l’invention des lettres minuscules, n’employaient que des onciales d’un pouce de hauteur.
Aussi les abréviations étaient-elles devenues nécessaires chez eux et d’un usage habituel. Tantôt ils ne laissaient subsister que la première lettre des mots ; tantôt ils supprimaient seulement les dernières lettres ou celles du milieu. C’est ce que Cicéron appelait "singulae litterae", d’où est venu le mot sigle.
On se servait d’abréviations dans les inscriptions, les manuscrits, les lettres et même dans les lois et les décrets; mais comme les signes abréviatifs pouvaient être interprétés de plusieurs manières différentes, leur emploi donna lieu à tant d’abus, que l’empereur Justinien se vit obligé de les proscrire, et de punir comme faussaires ceux qui oseraient les employer.
Mais l’abus n’en persista pas moins dans les siècles suivants et l'Amiral de la Mer Oceane lui aussi il a crée son propre Sigle, qu’à l’exclusion de tout autre navigateur, l’utilisa à titre de signature dans ses documents officiels. Pour quelle raison? Afin de cacher son identité. Car, en effet, il n'a JAMAIS dévoilé son identité à PERSONNE!
Mais nous savons aujourd’hui avec le déchiffrage de son sigle cabalistique que le mystérieux navigateur n’était autre qu’un juif originaire d’une des plus prestigieuses familles aristocratiques du Portugal, serviteur du Roi du Portugal Dom Jean II. Aussi, il n'est pas parti en Espagne avec un "projet", comme il l'a fait croire aux Rois Catholiques (grands riveaux de Dom Jean II ), mais avec un MISSION qu'il accomplira avec grand succes. (Lire la rubrique "Sa Mission").
Il s’agit d’un sigle cabalistique hebraique comme nous le démontrerons plus loin. Aussi, il a un double sens. Mais pour l’instant nous allons nous occuper uniquement de son message visible.
Il se compose en deux parties, une supérieure et l’autre inférieure. La partie supérieure contient sept lettres SSAS XMY
La lettre X signifie croisement, soit «fils de», et parce que la lettre J
n’existait pas dans l’alphabet romain il y a de cela cinq siècles, la lettre Y était employée comme lettre initiale de Joseph. A partir de cette simple information il nous est facile de déchiffrer la partie supérieure du Sigle dont le contenu est une salutation au Christ:
Sanctus,
Sanctus, Altissimus, Sanctus,
Fils de Marie et Joseph
La partie inférieure du Sigle est beaucoup plus difficile à déchiffrer. Elle se compose par:
[ : XpõFERENS ./ ]
1) [ : ] c’est le signal de ponctuation d’origine grecque qui porte le
nom de colon. Cela signifie diviser en parties, ou créer un
membre d’une phrase.
2) [ Xpõ ] c’est l’abréviation en grec du nom Christ. (Ici un fait curieux. A la place d'un omega sur la voyelle "o" comme le font les grecs, il place un tilde à la portugaise!)
3) [ FERENS ] c’est un mot en latim qui signifie porteur ou messager.
4) [ ./ ] c’est le signal de ponctuation point vírgule, appelé
semicolon dans les mondes anglosaxon, hispanique et lusophone.
Alors, pourquoi le Sigle porte un COLON au début et un SEMICOLON à la fin?
Il faut s’avoir qu’à l’époque en Péninsule Ibérique colon et semicolon se prononçaient tous les deux par COLON.
Durant des siècles en Espagne et au Portugal une phrase interrogatoire était toujours signalée au début avec un point d’intérrogation inversé, avertissant que la phrase allait terminer par un point d’interrogation normal. De même qu’avec les points d’esclamation.
La même téchnique était utilisée avec les signaux colon et semicolon. Ainsi quand une phrase commençait avec le signal colon, nous savions qu’elle irait se terminer en un semicolon. Mais seul le dernier signal était prit en considération, de la même sorte qu’avec les points d’interrogation et d’exclamation.
Cette explication est necessaire pour nous placer à l’époque et comprendre les caractères du Sigle.
Ceci étant dit, nous allons maintenant interpréter la partie inférieure du Sigle:
[ colon + Christ + porteur/messager + semi colon ]
Le premier signal colon [ : ] sert d’alerte pour signaler que le Sigle va se terminer avec le signal semicolon [ ./ ]
Selon la règle de ponctuation d’il y a cinq cents ans, le premier colon est silencieux. Seul le deuxième signal, dans ce cas ci le semicolon, prendra la valeur de COLON.
Christ + porteur/messager = le prénom CHRISTOPHE
La traduction de sa signature [ :XpõFERRENS./ ] est belle et bien Christophe Colon. Pas "Colombo".
Cette sensationnelle découverte se doit a un major de l’armée portugaise, le Major Santos Ferreira qui en 1930 fut le premier à avancer la théorie de l'origine juive de Colón.
LES BULLES PAPALES
En 1994, l’illustre investigateur Colombin, le Dr. Manuel Luciano da Silva, fatigué qu’il était de lire des absurdités (**) sans nombre sur la vie de Colom, eut la brillante idée d’aller au Vatican consulter les Bulles Papales dédiées à la découverte du Nouveau Monde afin de voir comment le Pape Alexandre VI nommait l’Amiral de la Mer Océane.
(**) Lire « Ses Origines ».
Idée intéressante, vu que le Pape était considéré à l’époque comme étant l’autorité la plus haute et la plus officielle d’Europe.
Ce fut le Pape Alexandre VI, qui durant l’année 1493, publia en latin quatre Bulles Papales, toutes dédiées à la découverte de L’Amérique. Mais seules les deux premières Bulles incluent le nom du navigateur.
Dans la première Bulle, datée du 3 mai 1493, à la onzième ligne de la deuxième page, nous pouvons lire en latin, «(...)dilectum filium Crhistofom Colon»: “mon fils chanceux Crhistofom Colon”.
Extrait du facsimile du texte de la Bulle “Inter caetera” (I) du 3 mai 1493
Le Pape en mentionnant le navigateur, a accepté l’orthographe légitime de CRHISTOFOM COLON. Il en ressort une erreur du greffier car il a mal placé 2 lettres: “CRH” au lieu de “CHR”.
Notez que le prénom du navigateur apparaît en portugais “CRHISTOFOM” (CRISTOFOM). Quant au nom, on peux lire clairement COLON. Toujours pas de “Cristoforo” ni de “Colombo” en italien, ni même “Columbus” en latin!
Dans la deuxième Bulle, datée du 28 juin 1493, ont y répète le nom COLON à la première page sur la ligne trente et une. Mais cette fois ci le prénom portugais apparaît en quelque sorte latinisé CRISTOFOR~u. Cela semble se justifier par la raison logique des anthroponymes «Cristofõm» (en portugais) et «Cristóbal» (en castillan) dériver du mot latin «Christophorus».
Extrait du facsimile du texte de la Bulle “Inter caetera” (II) du 28 juin 1493
Alexandre VI n’a jamais cité Cristoforo en italien, ni Cristóbal en castillan, ni même Christophorus en latin, mais bien le prénom portugais CRISTFOR~U de Cristofõm.
Pouquoi l'a t'il fait? Notez qu'il n’existe aucune autre langue au monde à part le portugais qui utilise le tilde sur les voyelles.
Fait étonnant de la part d’Alexandre VI, d’autant plus qu’il était d’origine hispano-italienne et qu’il n’éprouvait pas une grande sympathie à l’égard des portugais...
LES "PLUSIEURS SIGNATURES DIFFERENTES"
Les génois affirmaient que l’Amiral avait "plusieurs signatures différentes" et qu’il ne se préoccupait pas avec un trait intégral de son sigle. De cette façon, ils cherchaient à rendre acceptables tous les faux documents attribuées à l’Amiral qu’ils ont fabriqués tout au long de l’Histoire de sorte à nous faire croire que Colón avait des liaisons de près ou de loin avec Gênes.
Cette rumeur a été reçue, bien évidement, comme étant à la fois invraisemblable et ridicule et ce même aux yeux de n’importe quel amateur d’Histoire inculte.
Voici quelques exemples de ces «plusieurs signatures différentes» :
2) .S. S A S .X.M.Y. el almirant. Fausse signature dans une lettre à Diego Colón, datée du 29 avril 1498. Son contenu est douteux et le sigle est mal tracé.
3) .S. S A S .X.M.Y L'Almirant. Fausse signature dans une lettre Frère Gaspar, datée du 12 mai 1498. Son contenu est également suspect et présente le sigle mal copié.
4) .S. S A S .X.M.Y. el almirant. Fausse signature dans une lettre que l’Amiral aurait écrite au Frère Gaspar Gorricio datée du 24 mai 1498.
5) S .SS X. MY el almyrant. Fausse signature dans une lettre adressée à Miguel Ballester le 21 mai 1499.
6) .S. .S. A .S. XMY el almirant. “Sa” signature se trouvant dans deux lettres falsifiées adressées au Frère Gaspar le 24 mai 1501.
7) XMW XPO ferens. 2 faux autographes se trouvant dans les 3 “Libramientos” dirigées à Diedo Rodriguez et Rodrigo Viscainho. Le 7 et 8 septembre 1504.
etc, etc...
8 commentaires:
Encore un qui a lu le Da Vinci Code ....et qui ne l'a pas digéré :-)
Cette page est truffée d'aneries et de fautes de français. Avant de donner des leçons d'Histoire et de ré-écrire ce qui est connu, il faudrait d'abord lire ce qui a été publié sur le sujet !!!
Ou sont les preuves de tout ce charabia ?
Heureusement que l'Histoire de Colomb est connue au Portugal...il y a bien longtemps que ce genre de canulard n'est plus pris au sérieux.
Allez faire un tour sur cette page :
http://www.cristobal-colon.net/Colon/origines/Colon_portugais.htm
vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour découvrir les origines de cette imposture !
On ne ré-écrit pas l'histoire en faisant de vagues interprétations de mauvaises copies de documents sinon on va bientot faire les prévisions météo en lisant dans le marc de café et on va prédire l'avenir en décrypptant la forme des nuages....
Manuel Pereira, professeur d'Histoire.
Monsieur Manuel Pereira, (« professeur d'Histoire »),
Chers lecteurs,
Le Code Da Vinci, a été écrit vingt ans après la publication de la thèse définitive "The Portuguese Christopher Columbus : Secret Agent of King John II". Dan Brown s’est probablement inspiré du best seller du Prof. Mascarenhas Barreto mais sont livre n’a aucun rapport avec Colom(bo) pas plus que «L’inspecteur Colombo » des séries télévisé a une parenté avec le duc de Veragua –actuel descendant de Colón.
Mon intention ici n’est pas de « donner des leçons d'Histoire et de ré-écrire ce qui est connu », mais de rendre public les toutes dernières investigations sur la véritable identité de l’Amiral et les conclusions qui en découlent avec des preuves documentaires à l’appui.
Soyez patient Monsieur "Pereira" car, ce que vous avez pu lire sur ce site, n’est rien si l’on compare avec ce qui va suivre. Et je suis certain que vous allez apprendre énormément. Aussi bien sur Colón que de culture générale.
La nationalité portugaise de Colon n’étonne plus aucun historien sérieux. Et cela pour les raisons qui ont été exposés dans les trois volumes de Mascarenhas Barreto et que nous essayons de transmettre l’essentiel ici.
Aussi, le fait qu’il ait été portugais n’a rien d’exceptionnel. Si vous vous donnez la peine de réfléchir, vous vous apercevrez que tous les navigateurs de son calibre à l’époque étaient portugais. Et que seule l’Ecole de Sagres fondée par le Prince Henry le Navigateur, formait de tels Amiraux.
A ce propos permettez moi de vous rappeler également que, contrairement à l’idée reçue en France, un marin n’est pas la même chose qu’un Navigateur. Pas plus qu’un pilote d’avionnette n’est un Astronaute.
Dans votre aimable message vous mentionnez un site Web francophone sur l’histoire de Colomb. Vous avez bien fait, et je vous en remercie.
Il faut que nos chers lecteurs bénévoles sachent que le site en question (*) représente ce qu’il y a de plus nocif sur l’Histoire Colombine. Et démontre aussi bien une ignorance totale sur l’histoire de l’épopée des découvertes dont "Colomb" à participé bien avant 1492, que sur les coutumes et moeurs de l’époque. C’est, si l’on peux dire, du copier/coller de toutes les âneries qui ont étés répandues (sans jamais avoir prouvé quoi que ce soit) sur Cristobál Colón.
Ces individus semblent avoir une extreeeeme difficulté d’admettre que le navigateur était (comme ils l’étaient tous) portugais. Non, il était génois, espagnol, corse, russe mais SURTOUT PAS portugais ! Plus un seul portugais ! l’Histoire en dénombre déjà de trop ! ;-)))
Une étude sur le cas psycho-socioculturel des individus en question est actuelement en cours afin de comprendre de quoi ils souvrent.
Aucun des trois détracteurs du Prof M. Barreto cités dans le lien que vous m’avez gentiment envoyé, n’est un professeur d’Histoire et ne sait pas grand chose sur l’histoire de l’Amiral. Leur différent ce doit uniquement pour des raisons d’idéologie politique. En effet, les premiers sont marxistes-léninistes (**), et Mascarenhas Barreto est un féroce anti-communiste et le fait savoir dans tous ces livres.
Voici ce qu’un critique Historien de Brooklyn dit sur la thèse « Le Portugais Christophe Colomb - Agent Secret du Roi Dom Jean II du Portugal » :
«It is obvious that the so-called professional historian community is not going to like what Barreto explains with extraordinary detail because they would only be acknowledging their own ignorance. There is a multibillion dollar industry living under the myth of a Genoese Columbus and offering false documents to prove it.
There are books based on those false documents written by people with “a name” in the historian community begging the public to perpetuate the lie because in all honesty, they can’t sleep at night with their hard pillow filled with corrupted cash.
To date no historian has successfully challenged Mr. Barreto’s arguments. Why? I tell you why. Because Mr. Barreto is most probably right and all those Samuel Morisons out there will die first before they admit to it!»
(Book News, June 2000).
Veuillez m’excuser pour la mauvaise qualité de mon français. Ce Site fera bientôt l’objet d’une révision et traduction en 4 langues.
Permettez moi de vous faire part à mon tour des erreurs qui se trouvent dans votre petit message.
Elles sont :
« aneries » ; « ré-écrire » ; « canulard » ; « ré-écrit » ; « bientot » ; « décrypptant
cordialement – a.pizarro
(*) : Allez faire un tour sur cette page qui parle du site en question :
http://cosmos.oninetspeed.pt/hall9000
(**) : M. Barreto les nomment aujourd’hui de « marxistes matérialistes ».
Finalement et si on regarde bien lorsque le fils de Barreto écrit "Mascarenhas Barreto est un féroce anti-communiste et le fait savoir dans tous ces livres".
Cela réveille chez moi un léger malaise. La plupart des "féroce anti-communiste" sont généralement un peu et parfois beaucoup un peu fascistes....
Je rappelle que Barreto est bien connu pour être l'auteur de l'ouvrage suivant :
História da polícia em Portugal : polícia e sociedade / Mascarenhas Barreto por Barreto, Mascarenhas, 1923- ; 363, [8] p. : il. ; 21 cm ; Braga : Braga Editora, cop. 1979.
MC de la Salle
j'ai lue se livre et je ne comprends pas pourquoi vous dites ça?
Cher Monsieur Nogueira.
Toutes les extrémes sont dangeureuses qu'elles soient à droite ou à gauche.
Lorsqu'on est "un féroce anti-communiste" on ne peut pas etre un démocrate ou un altruiste...
J'ai de tout temps et depuis trés longtemps constaté que les gens qui s'interessent de trop prés à la police ne sont pas souvent des gens fréquentables...Ils ont une mentalité étrange.
Pour nos amis les lecteurs, nous vous prions de visiter la page :
http://cosmos.oninetspeed.pt/hall9000
Vous allez vite comprendre de quoi il s’agit. Bonne lecture
et si Mascaranhas était un féroce anti-fasciste, est-ce que cela causerait un problème?
Bravo pour ce blog, cela confirme que les italiens sont des charlatains et que la vérité vient toujours au dessus.
Le charabia vient des charlatains qui par question de patriotisme ont été prés à falsifier des documents pour prouver faussement la nationalité italienne de Cristofom Colon.
Colomb (colombus)?
Il y a une grande différence entre le grec " colon " qui signifie membre et " colomb " qui signifie pigeon, pourtant Cristovão n'était pas un pigeon.
Un tisseron Genois ?
Qu je sache à cette époque au Portugal et dans le reste de l'Europe il été strictement interdit que quelqu'un du peuple épouse une personne de la haute noblesse. D'ailleurs Cristovão métrisait à 1000 merveilles le portugais ( cela se vérifie dans ses lettres ), par contre il n'a jamais rien écrit rien en italien, ni jamais fait aucune allusion à l'Italie.
Brasil, Santarém, Curacao, Faro, Belém, Touro, Ponta, Porto.
Aucun de ses découvertes ne fait allusion à l'Italie, par contre on ne peut pas dire de même en ce qui concerne les mots qui n'existent qu'en portugais :
Quelques’uns de ces noms sont: S. Vincente, Santa Luzia, Guadiana, Ponta de Santo Antonio, S. João Baptista, Porto Santo, Mourão, Isabel, Espirito Santo, Santa. Clara, S. Nicolau, S. Vicente, S. Martinho, Conceição, Cabo de S. João, Cabo Alfa, S. Domingos, Cabo Roxo, S.Miguel, Cabo Omega, S. Antonio, Santa. Catarina, S. Jorge, Ponta Galera, S. Bernando, S. Tiago, Boca das Serpentes, Boca do Dragão, Margarida, Ponta de Faro, Boca de Touro, Cabo Isabel, Castelo Verde, Ilha dos Guinchos, Salvador, Santarém, Cuba, Curaçao, Brasil, Belém.
Les évidences sont là ! Quand est-ce que ce mépris envers le Portugal cessera ?
Bonne continuation pour ce blog
Enregistrer un commentaire