mercredi 27 juin 2007

AVIS AUX PASSIONES D’HISTOIRE COLOMBINE



La maison d’édition londonienne Macmillan, une des plus prestigieuses maisons d’éditions au monde, a publié en 1992 une (La) thèse montrant, preuves à l’appui, (en effet les Anglais ne perdent pas leur temps) qu’il n’y eu pas un mais plutôt deux "Colomb" desquels le noble navigateur portugais d’ascendance juive Colom et le tisserand/fromager (ou aubergiste, ou laitier ou encore cordonnier–cela dépends des versions) «Colombo», né à Gênes ou dans une autre république italienne parmi les 17 qui se disputent encore aujourd’hui le berceau natal du découvreur de l’Amérique. Dans ce best-seller(*) l'investigateur d'Histoire Augusto Mascarenhas Barreto commence par démonter de toutes pièces la «Raccolta Colombiana» (compilation de manuscrits tendant à prouver que le mystérieux navigateur était de Gênes mais dont l'élite scientifique n’y a jamais cru et ce, en dépit de l'Etat de Gênes avoir fait une campagne de marketing GIGANTESQUE durant plus d'un siècle tendant à le prouver ) et montre comment les faussaires "génois", un par un, si sont pris pour placer leurs Colombos dans la peau de Colón. Ensuite il nous présente une multitude de preuves logiques que Colón et Colombo ont été (comme leurs noms l'indiquent d'ailleurs), deux personnes complètement distinctes, et termine son livre par nous exposer La preuve réelle avec le déchiffrage du sigle cabalistique sépharade de l'Amiral, qui pendant cinq siècles resta indéchiffrable.

La traduction est :
"Fernando, duc de Beja, marié à Isabelle, dite Câmara, sont mes parents de Cuba - Salvador Fernandes Zarco".

Nous vous invitons maintenant à découvrir la véritable identité de l'Amiral de la Mer Océane.

Pour nos lecteurs les plus pressés, veuillez visiter la page de François Baradez du magazine Ecole Pratique des Hautes Etudes – Sciences historiques et philologiques, Sorbonne sur: http://www.stratisc.org/pub_mo3_CHRONIQUEB.html

(*): The Portuguese Christopher Columbus : Secret Agent of King John II

8 commentaires:

J. C. S. J. a dit…

Espero que tenha sido descoberto qualquer documento coevo que possibilite sustentar as ideias aqui defendidas, caso contrário, temos mais do mesmo.

Afonso Pizarro de Sampayo e Mello a dit…

Caro leitor Sr J.C.S.J,

Até hoje nao existe nunhum documento coevo sobre Colombo genoves, Corso ou Togoles.

V. Exa, cita Las Casa afirmando que este chamou Colon de Colombo. Nao sei se teve opurtunidade de ler as "Provas documentais da nacionalidade portuguesa de colombo". Eis um pequeno excerto do que se diz sobre os textos de "Las casas" (cujo os originais curiosamente desapareceram):

Las Casas :

« …En adoptant la tendance commune aux chroniqueurs antérieurs d’affirmer qu’ils CONNAISSAIENT l’Amiral, Las Casas dit (selon les copies de ses textes):

« qu’il la vu (…) quand il est arrivé ici habillé presque comme un franciscain » ;

et il dit également

« je l’ai vu à l’Ille Espagnola en 1500. ».

Dans le premier cas :

1) Las Casas est né à Séville en 1474, où il a étudié de ses 12 ans à ses 23 ans, allant ensuite à Salamanque. Il avait donc 10 ANS quand Colom arrive en Espagne en 1484.

Colom vivait à Cordoue comme un homme commun, il lui fallait encore 8 ANS pour se distinguer (devenir fameux) ; et Francisco de Casaus , père de Las Casas ne l’a connu qu’en 1493 où il participa au deuxième voyage aux Antilles.

Il est donc INCROYABLE qu’en 1500 le petit gamin Bartolomé Las Casas se souvienne d’une personne banale que personne ne prêtait encore attention et qu’il l’aurait aperçu accidentellement, 16 ANS avant, dans une ville, qui n’était pas la sienne et où il est passé a peine sporadiquement (et sans son père) !

L’expression « habillé presque comme un franciscain » dénonce avoir été influencé par la lecture du faussaire déjà démasqué GIUSTINIANI, qui a présenté L’Amiral comme étant « tisserand de laines, de parents humbles » qui était la condition sociale des Colombos de Gênes.

Dans le deuxième cas :

En 1500 l’Amiral se trouvait à l’Ille Espagnola ayant la plus haute charge « Gouverneur Général des Indes ». S’il est vrai que Las casas l’a rencontré la bas, il aurait été naturel qu’il mentionne dans son texte au moins une conversation ou un épisode qu’il aurait témoigné à ce moment la. RIEN. Absolument RIEN !

Aussi, Las Casas est allé aux Antilles non pas en 1500 mais en 1502, lorsqu’il part de Castille avec le navigateur Ovando, le 13 février 1502 avec 32 navires et 2500 hommes.


Mais cela les romanciers génois de l’époque ne le savaient pas. Aujourd’hui, nous le savons. ;-)

Anonyme a dit…

Toutes les clarifications son dans le livre O Mistério Colombo Revelado e bientôt serons faire évidente en front de tout le monde en la Discovery Channel, ( http://www.colombo.bz ) l’histoire changé.

Anonyme a dit…

www.colombo-o-novo.blogspot.com

Pour en apprendre sur Las casas et ses incohérences ainsi que sur le plagia effectué entre les divers chroniqueurs de l'époque.

Vous verrez, c'est hallucinant!

Afonso Pizarro de Sampayo e Mello a dit…

Merci beaucoup pour vos messages Monsieur "PR"; Je vais aller voir ces liens.

Anonyme a dit…

Blog: O Mistério Colombo Revelado

Le Livre: O Mistério Colombo Revelado

Christopher Columbus is dead Unmasking Columbus Website

Afonso Pizarro de Sampayo e Mello a dit…

merci pour ce lien! il sera utile pour nous amis anglophones!

cordialement -a.pizarro

Anonyme a dit…

pourquoi pas:)