En 1569, le génois Baliano Fornari est aller chercher le petit-fils de l’Amiral, Luis de Colón, pour lui proposer de publier l’ouvrage de son oncle (Fernando Colón) intitulé « Historia del Almirante », avec la promesse alléchante de l’imprimer en une première phase en latin (de sorte que tous les étrangers lettrés puisse la comprendre) et ensuite de la publier en castillan et finalement en italien.
Cependant Fornari, ayant emmené avec lui le manuscrit original à Gènes, a manqué à son compromis, s’est a peine occupé de la traduction en italien et a fait ensuite disparaître le manuscrit original - comme cela c’est passé d’ailleurs avec tous les documents dont les génois ont mit la main dessus.
Et bien, dans l’édition du génois (édition forgée comme nous le démontrerons), le Frère Fernando Colón aurait écrit dans le chapitre V:
«(…) selon Marco Antonio Sabélico, un autre Tito Lívio de nos jours, l’Amiral serait arrivé au Portugal en 1476 à la nage accroché à un fragment de mat d'un bateau corsaire naufragé à 11 Km au large de la côte entre L’Algarve et Lisbonne après un rude combat naval. (…). (…)Dans ce navire ont le surnommait «Colombo le Jeune» pour le différencier d’un autre Colombo qui était un vieux marin très expérimenté (…)».
Seulement, voila, les lettres (d’un style scientifique et écrites en latin -comme il était coutume entre deux étrangers) échangées entre l’Amiral via Lisbonne et le cosmographe florentin Toscanelli prouvent qu’il se trouvait déjà installé la bas (apparemment très confortablement et très mature) en 1474.
Les "spécialistes" colombins, hormis les historiens portugais, semblent ne s’être jamais posé la question à savoir pour quelle raison un savant comme Toscanelli perdrait son temps à se correspondre avec un vagabond inculte? Notez que nous sommes au XV ème siècle ! Et qu’une telle chose serait invraisemblable encore aujourd’hui!
Le Professeur Mascarenhas Barreto, après avoir bombardé cet épisode fantastique de la Raccolta Colombiana, finit le boulot par le lancement de trois ultimes "torpilles" en rappellent que :
1) - Tout d'abord, Fernando Colón n'aurait jamais cité Marco Antonio Sabélico comme étant "un autre Tito Lívio de nos jours" pour la simple et bonne raison que Sabélico était un petit historien médiocre de l'époque. Et Fernando Colón, homme cultivé, grand passionné d'Histoire et ayant chez lui la plus grande bibliothèque privé du Monde (elle l'est encore aujourd'hui!) n'aurait jamais fait une telle comparaison. Il est de soupçonner que le faussaire Baliano Fornari était soit un ami de Marco Antonio Sabélico soit il avait une dette envers lui.
2) - Les seuls combats navals enregistrés au Portugal en cette année de 1476 ont eut lieu au Cap Saint Vincent (Algarve) et non pas entre ce promontoire et Lisbonne, et furent tout d’abord:
· celui du 13 août de 1476 par le corsaire français Guillaume Coullon au service du roi de France, qui a attaqué quatre navires veneziens (et non pas genois) et un navire flamand.
Guillaume de Caseneuve Coullon, était d’une famille noble de Normandie qui au XIII siècle s’appelait « Coullong » (de «Coup long»). Il combattit au service du Roi Louis XII contre Gènes, qui en 1464, cessât d’être un protectorat de France.
Les "Génois" vont changer son nom en « Colombo - le Vieux ».
· et celui du 21 août de 1485, entre le corsaire George Bissipat dit le « le Grec », qui était également au service du roi de France, et quatre galeres veneziennes qui venaient de
Flandres ayant celles-ci offert leur rendition d’immediat avant d’aller pressament à Lisbonne.
Les "Génois", dans leur tentative de créer un navigateur génois vont changer son nom en « Colombo – le Jeune».
Notez que, selon ce que nous raconte l’Histoire d’Italie, « Colomb le Jeune » était le surnom du corsaire George Bissipat qui, au service de l’empereur Maximilien, a combattu en défense
de Milan contre les Français, de 1513 à 1515. »
Hors l’Amiral est mort en 1506. Et Fernando Colón n’aurait jamais fait une telle confusion !
Aussi, Fernando Colón dés son 1er chapitre spécifie que son père ne s’appelait pas «Colombo» mais COLOM. Pour quelle raison va-t-il affirmer alors dans le 5ème chapitre que le corsaire George Bissipat (déjà surnommé « le grec » et à qui les italiens vont le surnommer à leur tour par « Colombo », par analogie avec l’antérieur Coullon) était du nom et famille de l’Amiral de la Mer Océane?
Seul Baliano Fornari aurait pu accumuler autant d’idioties !
3) - Finalement, selon les médecins et amiraux questionnés par Mascarenhas Barreto, « jamais un homme accroché à un fragment de mat d’un bateau naufragé après un « rude combat naval » à 11 Km de la côte, immergé dans la mer atlantique, pour plus de 12 heures au minimum, ne pourrait survivre. Il serait mort d’algidité et d’exhaustion ».
"Christophe Colomb" faisant une sieste après un maraton à la nage de plus de 11 km sur la mer glacée de altantique.
Sans autre commentaire à faire à ce sujet nous vous invitons à passer au chapitre suivant.
4 commentaires:
Quel charabia indigeste !
C'est totalement incompréhensible. Même un mauvais journaliste arrive à faire mieux.
Pour la partie histoire il faut encore lire un peu sur le sujet ! Choisissez de préférence les bons auteurs et evitez ceuw qui savent tout.
Pour la partie orthographe et grammaire c'est abominable vous n'obtiendrez pas le bac avec niveau comme celui la !
Une suggestion : effacez tout et faite vous aider par votre prof d'histoire !
Monsieur Perl Art-bourg,
Pour vous éviter une nouvelle indigestion nous vous suggérons de lire plutot Reader Digest. Ou simplement de vous attaquer à de plus petites colombes.
Pour nos amis les lecteurs, nous vous prions de visiter la page :
http://cosmos.oninetspeed.pt/hall9000
Vous allez vite comprendre de quoi il s’agit. Bonne lecture! ;-)
Très belle argumentation.
Les Scientiques pour l'instant ne sont ni décisifs ni éfficaces.
Les Historiens se bercent les uns les autres dans leurs diverses théories et les imposteurs écrivent des livres ou passent à la tv pour dire que Colomb était d'origine portugaise alors qu'il était "CITOYEN" ce qui est pas la même chose...
Laissons le Navigateur et sa Famille tranquille car le nationalisme et certains égo de Responsables empêchent de faire avancer cette belle Recherche historique...
Un Homme qui aime l'Histoire mais dégouté par les pseudo enjeux.
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